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Michelin apporte son soutien financier à 2 étudiants de l’Université Franco-Allemande (UFA)

A l’occasion de la récente journée franco-allemande du 22 janvier dernier, l’ÍøºìºÚÁÏ, Michelin Hombourg (dans la Sarre) et la Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes (htw saar) ont signé officiellement une déclaration commune d’intention concernant la mise en place d’un programme binational de « bourses Michelin-UFA ». Ce programme prévoit le soutien financier d’un étudiant français et allemand sur une période de dix mois, à hauteur de 300 euros par mois. ³¢â€™U¹ó´¡, Michelin et la htw saar se proposent d’octroyer ces bourses, une fois par an.

« Nous nous félicitons de ce que des étudiants de l’UFA puissent bénéficier d’un soutien par le biais de ce programme de bourses Michelin-UFA. Nous sommes fiers de pouvoir intensifier à l’avenir cette coopération fructueuse avec nos prestigieux partenaires en provenance du monde économique et scientifique », précise Monsieur Patrice Neau, président de l’UFA.
« Disposer de personnel qualifié est essentiel pour l’avenir de notre usine. En apportant notre soutien financier à des étudiants participant aux cursus franco-allemands de la htw saar, nous serons en mesure de découvrir plus tôt les jeunes talents et de les mettre en contact avec l’entreprise Michelin », explique Mme Lisa Janzen, directrice de l’usine Michelin de Hombourg (Sarre).

Le recteur de la htw saar, M. Wolrad Rommel, déclare : « L’Institut Supérieur Franco-Allemand de Techniques, d’Économie et de Sciences (ISFATES) est un des fleurons de la htw saar. Le soutien de nos étudiants au moyen de bourses en provenance de l’industrie permet d’accroître l’attrait des cursus franco-allemands entièrement intégrés et souligne les bonnes relations qu’entretient la htw saar avec les entreprises de la région. » Grâce à l’ISFATES, la htw saar apporte une précieuse contribution à la stratégie « France » du gouvernement du land de la Sarre, visant à faire de la région d’ici 2043 un espace plurilingue performant d’empreinte franco-allemande. « Je vois en l’ISFATES un puissant moteur au service de cette stratégie », ajoute M. Rommel.