ÍøºìºÚÁÏ

2012-2013 : Une année dense pour l’ÍøºìºÚÁÏ (UFA)

Un réseau qui tisse sa toile, des diplômés binationaux et trinationaux en constante augmentation.
³¢â€™U¹ó´¡ poursuit son ambition pour répondre à son objectif de croissance de 2020.

Il y a plus d’une décennie que les premières pierres de l’ÍøºìºÚÁÏ (UFA) ont été apposées à Sarrebruck. Quinze après, elle est devenue un établissement incontournable sur le plan européen. ³¢â€™U¹ó´¡ est la seule institution de droit international à promouvoir la coopération universitaire entre deux pays : la France et l’Allemagne. Elle est devenue au fil des années, le point de rencontre par excellence où se retrouvent les spécialistes de chaque branche. Elle forme les étudiants, de manière optimale, à une formation franco-allemande dans plus de 80 villes universitaires et au sein de 163 établissements : universités, grandes écoles, écoles de commerce, écoles d’ingénieurs, IEP.

UFA : un engouement certain pour les cursus binationaux et trinationaux
Le nombre d’étudiants a considérablement augmenté d’année en année. 1 721 étudiants étaient inscrits lors de l’ouverture de l’institution en 2000. Aujourd’hui l’ÍøºìºÚÁÏ compte plus de 5 500 étudiants pour l’année 2012/2013 avec pour objectif de croissance d’ici 2020 de doubler son effectif d’étudiants et de doctorants. La majorité des étudiants sont français (2258), allemands (2412) ou bien franco-allemands (305). Plusieurs autres nationalités sont également représentées au sein de l’UFA, pour les plus significatives : la Suisse (44), le Cameroun (93) et le Maroc (25). ³¢â€™U¹ó´¡ cultive activement cette inter-culturalité.
Comme le mentionnait Thierry Repentin, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé des Affaires européennes, lors de l’inauguration de la Semaine franco-allemande de la Science et des Alumni le 15 avril 2013 : « Mais ce ne sont pas que les gouvernements qui font vivre l’amitié franco-allemande au jour le jour. Cette amitié se renforce par les contacts entre les sociétés civiles des deux pays, étroitement imbriquées, et les relations entre chercheurs, entre étudiants, entre Alumni… Chaque année 5 000 étudiants français et allemands font leurs études dans les 150 cursus binationaux et bi diplômants de l’ÍøºìºÚÁÏ, financée coté français paritairement par le Ministère des Affaires étrangères et le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche. »
« L’UFA, portée par la dynamique du 50ème anniversaire du Traité de l’Elysée, est résolument engagée dans une phase ascendante : progression significative du nombre d’étudiants, augmentation du nombre des cursus, extension de nos activités de soutien à la recherche. L’UFA s’appuie sur un réseau de près de 170 établissements, et sur des responsables de programmes efficaces et dévoués » précise Patrice Neau, Président de l’Université franco-Allemande.

UFA : un réseau très étendu et des cursus d’excellence
Plus de 163 établissements français et allemands sont membres et partenaires de l’UFA. L’institution accrédite chaque année entre 5 à 10 campus supplémentaires. L’ÍøºìºÚÁÏ dispense, au travers de ses membres, pas moins de 150 cursus intégrés. Elle forme une génération de cadres pour qui le mot « ouverture » raisonne. Qu’ils deviennent ingénieurs, juristes, chercheurs, managers ou enseignants, ils seront à terme les ambassadeurs de l’amitié franco-allemande et de l’unité européenne. 1 000 diplômés sortent chaque année des établissements labélisés par l’UFA. Le Label UFA atteste de la haute qualité scientifique et pédagogique des cursus franco-allemands. A l’issue de leur formation, 76% des diplômés trouvent un emploi dans les trois mois après l’obtention de leur double diplôme (chiffres 2011).
Les étudiants à l’UFA sont répartis de la manière suivante : 26% se prédestinent à l’économie et gestion, 25,8% s’orientent vers les sciences humaines et sociales, 20,55% sont élèves ingénieurs, 19,3% choisissent le droit, 4% se lancent dans une formation d’enseignants, 3,4% se tournent vers les sciences et 0,86% intègrent une formation en architecture. Côté français, les disciplines les plus choisies sont les sciences de l’ingénieur (670), les sciences humaines et sociales (625), l’économie et gestion (588) et le droit (517).

UFA : un soutien indéfectible pour la recherche 
L’insertion des doctorants est une mission primordiale pour l’UFA. 1 500 jeunes chercheurs ont été formés dans des établissements partenaires. L’institution soutient la recherche franco-allemande et favorise la mobilité de ses doctorants. D’ailleurs, une aide mensuelle à la mobilité de 600€ (mensuel) est attribuée à chaque étudiant.
Grâce aux 21 collèges doctoraux franco-allemands (CDFA) et aux 45 cotutelles de thèse, elle développe la coopération scientifique entre des équipes de recherche françaises et étrangères. Depuis 2005, l’UFA a enregistré une progression d’environ 28,6 % pour les cotutelles de thèse soutenues. Le nombre de CDFAs a lui été multiplié par 10 depuis 2003.
Elle met également à disposition des ses étudiants de nombreux dispositifs de mise en réseau des jeunes chercheurs et de développement du dialogue scientifique interculturel franco-allemand tels que, 59 ateliers de recherche et 16 écoles d’été.
« Nous pouvons être fiers de  notre coopération en matière de recherche et d’enseignement supérieur : une coopération extrêmement dense, en termes de mobilité : chaque année plus de 13 000 étudiants allemands sont inscrits en France et près de 10 000 étudiants français en Allemagne. Parmi eux, 5 000 sont inscrits dans les cursus binationaux soutenus par l’ÍøºìºÚÁÏ. » souligne Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, lors de l’inauguration de la Semaine franco-allemande de la Science et des Alumni le 15 avril 2013.
³¢â€™U¹ó´¡ continue son développement et ouvre aujourd’hui un nouveau chapitre de son histoire.

A propos de l’ÍøºìºÚÁÏ : www.dfh-ufa.org
L’ÍøºìºÚÁÏ (UFA) est une institution binationale créée en 1997, à l’occasion du sommet franco-allemand de Weimar. Son objectif est de renforcer la coopération dans l’enseignement supérieur et la recherche par le biais de doubles diplômes, de formations doctorales conjointes et de mise en réseau de jeunes chercheurs entre la France et l’Allemagne. ³¢â€™U¹ó´¡ est financée par le ministère des Affaires étrangères et européennes, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du côté français, et par le Bundesministerium für Bildung und Forschung, la Kultusministerkonferenz ainsi que par l’Auswärtiges Amt du côté allemand.
³¢â€™U¹ó´¡ est constituée d’un vaste et solide réseau de plus de 163 établissements supérieurs français et allemands, universités et grandes écoles, proposant plus de 150 cursus intégrés binationaux et trinationaux accueillant quelque 5 500 étudiants.

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